Une Coupe du monde, ce n'est pas seulement l'occasion de briller sur le terrain. Pour une fédération, c'est aussi le moyen de gagner de l'argent que l'on réinvestira dans la formation ou dans d'autres domaines.
En 2014, les Diables Rouges étaient arrivés en quarts de finale mais l'Union belge avait perdu 200.000 euros, ce qui avait coûté sa place à Steven Martens.
Cette fois, selon le président Gérard Linard, si la Belgique arrive au même stade, elle repartira avec au moins 3 millions d'euros en poche. De l'argent qu'elle investira dans l'arbitrage, dans le centre de Tubize et dans une commission des licences plus performantes.