Cette année, Anderlecht passe à côté de son sujet. L'équipe ne forme pas un véritable collectif et les joueurs qui souhaitent tablent sur l'exploit personnel n'y arrivent pas.
"C’est trop facile de dire que le noyau anderlechtois manque de qualité. Il y en a, mais je ne vois pas un groupe qui a la volonté de réagir ensemble. Quand je regarde l’effectif brugeois, y a-t-il vraiment plus de qualité dans le noyau d'Ivan Leko? Non, mais le tout est bien huilé", a assuré Ariel Jacobs dans La Meuse.
Il y a aussi des absences importantes. "J’estime que dans un club comme Anderlecht, il doit y avoir moyen de passer au-dessus de cela. Toutefois, quand on voit Kara, Onyekuru, Najar et Trebel absents en même temps, on parle tout de même de quatre titulaires en puissance."
"Kara a petit à petit prouvé son importance. Il en va de même pour Najar, d’autant plus que personne ne s’impose sur le flanc droit. Onyekuru n’a pas encore la consistance d’un tout grand, mais il a déjà rapporté pas mal de points au club. Quant à Trebel, certains ont douté de ses qualités mais il est actuellement l’élément le plus important de l’entrejeu anderlechtois."
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