Encore deux victoires, et le retour en Jupiler Pro League sera assuré !

Tombeurs 0-2 (mi-temps: 0-2) de Beveren qui restait sur une série de dix matches sans défaite, vendredi soir au Freethiel pour le compte de la 26e journée de la Challenger Pro League (voir FootNews: https://tinyurl.com/r93edcrb), les Molenbeekois restent invaincus depuis leur revers, 0-2, du 23 novembre face à ... Beveren, qu'il n'avaient plus battu depuis le 23 octobre 2022 (3-1).

Mais il sont surtout désormais à quatre matches et deux victoires de la (re)montée en Jupiler Pro League

Il ne leur reste en effet que quatre rencontres à disputer, et on commence doucement à faire les comptes.

Pour le RWDM, qui a repris la tête lors de la 25 journée, la donne est simple : deux victoires et le Top 2 synonyme de promotion directe sera assuré.

Avantage ou inconvénient ?

La particularité de ces quatre derniers matches, c'est qu'ils seront tous disputés le vendredi soir, au RFC Seraing le 28 mars; au Patro Eisden le 4 avril, à Lommel le 11, et à... Zulte Waregem le 18 !

Le RWDM ne connaîtra donc pas les résultats de ses concurrents avant de jouer.

S'agit-il d'un avantage, ou au contraire d'un inconvénient ?

"Cela va nous obliger à nous concentrer encore un peu plus uniquement sur nous-mêmes, ce que nous faisons de toute façon déjà", commente le capitaine Alexis De Sart à ce sujet dans La Dernière Heure - Les Sports (https://tinyurl.com/46bkpd5b).

"Après, ça peut mettre une forme de pression sur nos rivaux en fonction de notre résultat. Mais il ne faut pas pour autant y accorder plus d'importance que cela n'en a. Il faut d'abord et avant tout bien faire les choses, sans trop se soucier de ce qui se passe ailleurs..."

"Je reconnais cependant qu'il y avait un peu plus d’excitation que d’habitude dans le vestiaire avant le match du 9 mars contre Lokeren (1-0), après les revers, 0-1, de Zulte Waregem contre Lommel, et du Patro Eisden, 1-2, contre Beveren, ainsi que le partage, 1-1 de la RAAL La Louvière à Liège..."

"Ça ne change rien, il faut juste gagner..."

"Qu’on joue le vendredi, le samedi ou le dimanche, ça ne change rien, il faut juste gagner", tranche de son côté l'entraîneur Yannick Ferrera.

"On mesurera plus tard si c’était ou non un avantage de jouer avant les autres. Il peut parfois y avoir une forme de pression en connaissant le résultat de ses concurrents, mais ce n’est pas le cas chez nous. Parce qu'on se focalise sur le jeu et non sur l’enjeu. Nous devons nous concentrer sur nos prestations et si nous faisons bien les choses, nous serons récompensés...", conclut le coach molenbeekois.