"Bien sûr que je voulais m'imposer à Anderlecht. Quand je suis revenu de mon prêt à Charleroi, je n'avais pas l'intention de quitter Anderlecht après un échec. J'ai décidé d'essayer de convaincre René Weiler que je méritais ma place, doucement j'ai réussi. Je voyais que son opinion commençait à changer, que je rentrais doucement dans ses plans. Je me suis dit: il aime mon travail au quotidien, je l'ai surpris, pour moi c'était une belle victoire" a-t-il déclaré à Sport/Foot Magazine.
"Et puis, d'un coup, il est parti, et quand Hein Vanhaezebrouck est devenu notre nouvel entraîneur, j'ai fait la même chose: j'ai essayé de montrer que je pouvais avoir ma chance, mais je ne l'ai quasiment jamais eu. Quand Weiler est parti, j'étais triste pour lui, j'avais l'impression qu'il essayait quelque chose, mais il était sous pression de tous les côtes, et à la fin c'était mieux qu'il parte"