Face au Club de Bruges, l'Union Saint-Gilloise disputait un match au sommet ce dimanche. Une rencontre qui aurait pu rapporter trois points importants aux Bruellois.
Au lieu de cela, c'est avec un match nul 2-2 que cela s'est terminé mais les choses auraient pu virer à l'avantage des Unionistes si le VAR était intervenu pour annuler le deuxième but égalisateur brugeois. Il y a en effet eu une action possiblement fautive.
Frustration de l'Union
Sur le coup franc accordé aux Blauw en Zwrart, Christos Tzolis a glissé et il n'est pas impossible qu'il ait touché le ballon deux fois au lieu d'une seule. Son tir aurait donc dû être annulé si c'est le cas. Au coup de sifflet final, il y avait donc une certaine frutration dans le camp unioniste.
Quand on demande à Noah Sadiki si le partage face au champion en titre est une bonne chose, il répond : "Oui et non. Oui, parce que le Club a bien joué en seconde période et a trouvé les bonnes options. En fait, ils nous ont un peu surpris sur le plan tactique."
Un but non-valide ?
"Mais non, parce que je pense que sur le deuxième but, il s'en est fallu de peu. Il m'a semblé qu'il avait touché le ballon deux fois. Mais ils disent qu'ils n'ont pas de bonnes caméras ici. Je ne peux donc plus rien changer", de conclure Sadiki.
Introduit pour éviter le nombre d'erreurs, le VAR est donc une fois de plus au centre des discussions, avec une certaine inutilité dans ce cas précis. Un problème dans une rencontre aussi importante et une frustration légitime de la part d'une équipe qui sait qu'elle doit réduire l'écart avec celles qui sont devant au classement pour conserver une chance de jouer pour le titre.