Il y a un peu plus d'un an, Paul Pogba s'apprêtait à faire son retour dans le monde du football. Mais le Français était alors rattrapé par un contrôle antidopage positif.
Un contrôle positif à la DHEA, une substance qui se trouvait dans les complémens prescrits par un médecin américain qu'il avait consulté pour l'aider à préparer au mieux son retour au jeu. Mais après passage devant le TAS, il a réussi à faire valoir la négligence.
Une première victoire
Au final, la sanction de quatre ans a été ramenée à dix-huit mois, ce qui lui permettra de rejouer dès le mois de mars prochain. Pour le moment, on ne sait pas encore où ce sera, même s'il est sous contrat à la Juventus jusqu'en 2026.
La Vieille Dame se serait mise à table avec le joueur pour trouver un accord pour un départ anticipé. Mais pour le moment, il n'y a eu aucune confirmation, ni d'une part ni d'une autre et le joueur a récemment déclaré qu'il voulait tout faire pour rejouer avec les Turinois.
L'esprit libre ?
Quoi qu'il en soit, il y aura avant cela l'ouverture du procès lié à la séquestration et à la tentative de racket de l'international. L'Equipe annonce que ce procès se tiendra du 26 novembre au 3 décembre à Paris.
Pour rappel, les faits remontent à mars 2022 et six hommes parmi lesquels plusieurs amis d'enfance du footballeur ainsi que son frère Mathias avaient tenté d'obtenir des sommes d'argent importantes de la part du Bleu. Pendant une semaine, ils devront donc s'expliquer de ces faits.
Pour Paul Pogba, le fait que le procès ait lieu aux dates citées lui permettra d'aborder son retour à la compétition avec l'esprit libre, que ce soit à la Juventus ou dans un autre club.