À l'Union Belge, c'est branle-bas de combat en ce moment. L'instance n'a plus de CEO depuis le départ de Piet Vandendriessche et il y a des dossiers à gérer.
Des dossiers qui concernent notamment les finances, qui ne sont pas bonnes et pour lesquelles il faut donc trouver des solutions à court terme. Le conseil d'administration de ce jeudi a donc tourné en partie autour de cela entre les dix administrateurs, qui se sont pour le moment répartis les tâches en attendant la nomination d'un nouveau CEO.
Poussé vers la candidature
Une nomination qui a occupé une autre partie importante du conseil d'administration. Et si Vincent Mannaert ne s'est pas déclaré comme candidat, les clubs professionnels pousseraient pour que ce soit le cas selon Le Soir.
L'ancien homme fort du Club de Bruges a un profil qui correspond particulièrement bien aux attentes et si la procédure de recrutement n'a pas été lancée, les administrateurs souhaitent que cela se fasse en mode accéléré. Si Mannaert devait finalement candidater, il pourrait rapidement être nommé au poste et ainsi donner une direction à suivre.
On ne parle pas des Diables
En attendant, il y avait la gestion des subsides UEFA pour le projet Phoenix, qui vise à la digitalisation, au programme ce jeudi. 3 millions d'euros ont été aloués pour une première phase qui a été réalisée avec succès.
En revanche, en ce qui concerne Domenico Tedesco et les Diables Rouges, c'était silence radio. Si de nombreuses voix s'élèvent pour réclamer un départ du sélectionneur, il ne semble pas que cela soit à l'ordre du jour et ça ne devrait pas l'être avant la nomination du CEO.
Le mois de mars a été donné comme échéance pour trouver le successeur de Vandendriessche mais il se pourrait donc que les choses aillent plus vite si un consensus est trouvé entre toutes les parties.