Au Standard, les supporters aspirent discrètement à la stabilité. L'entraîneur Leko doit actuellement se contenter d'un noyau très limité et cela ne semble pas devoir changer pour le moment. Une fois de plus, de mauvaises nouvelles ont été annoncées concernant une éventuelle reprise.
L'incertitude avec l'ex-président dans l'œil du cyclone
L'histoire du Standard est désormais bien connue : le club est aux prises avec des dettes astronomiques et les propriétaires américains de 777 risquent plusieurs sanctions dans leur propre pays pour fraude et tromperie.
Le Standard a donc été mis en vente il y a quelques temps, mais plusieurs obstacles se dressent devant les éventuels repreneurs. Parmi eux, un lourd contentieux financier subsiste avec l'ancien président Bruno Venanzi et l'on parle d'une dette d'environ 60 millions d'euros.
L'échéance est à nouveau repoussée
HLN rapporte aujourd'hui que 20 à 25 millions d'euros doivent être remboursés à court terme, un montant qui pourrait augmenter si des décisions sont prises dans les affaires opposant Venanzi aux propriétaires américains.
Ce qui est sûr, c'est qu'à l'heure actuelle, personne ne s'est encore officiellement porté candidat. Selon diverses sources, il y a plusieurs candidats, mais la date limite pour une première offre a été repoussée au 7 août. D'ici là, on devrait au moins savoir quelle partie est réellement intéressée.
Pour les supporters du Standard, c'est déjà une mauvaise nouvelle. Un budget limité a été mis à disposition pour les transferts, de sorte qu'il n'y aura probablement pas de possibilité de faire venir des joueurs plus chers (et meilleurs ?) dans un avenir proche.