Pour la Belgique, l'Euro a commencé de façon inattendue avec une défaite contre la Slovaquie. De quoi mettre la pression sur le groupe ?
Si tout le monde a encore en tête l'élimination précoce à la Coupe du Monde au Qatar, la situation est différente ici puisqu'il reste encore deux matchs à disputer. Pour le moment, pas question de paniquer, que ce soit dans le chef du sélectionneur ou de ses supérieurs.
Bonne ambiance
Franky Vercauteren a fait le point avec la presse à quelques jours de la rencontre avec la Roumanie et il a été plutôt clair : "Vous croyez que j'aurais fumé un cigare ?", lance-t-il en évoquant une victoire belge lors de la première rencontre.
Pour lui, une victoire lors du premier match n'aurait rien changé et il n'y aurait pas eu moins de pression. Une pression qui n'empêche pas l'ambiance d'être au beau fixe dans le groupe selon Vercauteren.
Si on est conscient de la situation, on continue donc d'avancer dans le bon sens pour le moment et on prépare le mieux possible la rencontre contre la Roumanie, qui pour rappel l'a emporté 3-à face à l'Ukraine avec trois joueurs passés par la Belgique ou y évoluant encore.
Il faudra donc également se méfier de l'adversaire de ce samedi, même s'il occupe la 46e place au ranking FIFA, deux places au-dessus de la Slovaquie mais 24 places derrières l'Ukraine, le dernier adversaire.