On le sait, la situation du Standard est passée de compliquée à dramatique. Le club pourrait tout simplement être en faillite.
S'il y en a un qui garde un oeil attentif sur ce qu'il se passe en bord de Meuse, c'est Roland Duchâtelet, qui a revendu le club à Bruno Venanzi avant que ce dernier ne revende lui-même le club à 777 Partners.
"Cadavres dans le placard"
Une erreur selon Duchâtelet : "Le problème est apparu lorsque Venanzi a vendu le club à 777 Partners. Peut-être parce qu'il pensait qu'il s'agissait de personnes fiables. À l'époque, il n'y avait pas non plus de cas sur des propriétaires de clubs américains qui s'avéraient ne pas être solvables. Mais bon, tout le monde peut se tromper dans la vie", déclare-t-il à Het Belang van Limburg.
Duchâtelet qui évoque ensuite la revente du club. Une revente qui ne sera pas simple car il faudra trouver un repreneur fiable : "Dans la situation actuelle, c'est loin d'être sûr. D'autant qu'il n'y a pas de vision claire des éventuels cadavres qui pourraient encore être dans le placard. Le grand risque est que les dettes réelles soient beaucoup plus importantes que les dettes officielles. Cela rend une reprise particulièrement risquée."