À l'Union Saint-Gilloise, le début des playoffs a été assez agité avec un zéro sur six pour débuter.
Il y a aussi eu l'affaire Burgess à gérer puis les déclarations d'Alexander Blessin, qui n'a pas hésité à affirmer que beaucoup en Belgique voulaient voir Anderlecht s'emparer du titre plutôt que l'Union.
"Il faut bien rire"
Revenant sur ces propos, Blessin a déclaré en conférence de presse : "Je ne pense pas être plus nerveux qu'avant. J'essaie d'être détendu et concentré en fin de saison. J'aime bien qu'on dise que je suis un Caliméro. Cela me fait rire. Cela ne me pose aucun problème."
Et l'Allemand de poursuivre : "Je me sens parfois obligé de réagir à certaines choses. J'ai toujours une opinion ouverte et si je ne suis pas d'accord.... Je prends alors la responsabilité de m'exprimer, parfois de manière stupide, parfois non."
Sur l'affaire Burgess, le coach a préféré botter en touche : "J'ai essayé de ne pas lire les journaux et de ne pas en parler. Je n'ai jamais vraiment douté non plus. C'est un peu étrange quand on regarde l'enchaînement des faits. Mais il faut bien rire de temps en temps."