Récemment, Marouane Fellaini a annoncé qu'il mettait un terme définitif à sa carrière. Avant cela, le joueur avait été cité au Standard, où il aurait pu boucler la boucle.
S'il a finalement décidé de ne pas répondre favorablement à la proposition de son ancin club, il avait prouvé qu'il restait lié aux Rouches, en investissant dans l'immobilière créée par Bruno Venanzi afin de lancer les travaux de rénovation du stade.
Stratégie d'apaisement
Un investissement pour lequel Big Mo n'a pas encore été remboursé, ce qui aurait dû être le cas en avril 2023. Mais l'ancien Diable n'a toujours pas vu la couleur des 3 millions, 777 Partners exerçant une option pour repousser le remboursement d'un an.
Du côté de Pierre Locht, le CEO du club, on ne nie pas ce fait quand Josimar pose la question. Et pour calmer le joueur et son entourage, on a mis en place une stratégie particulière, offrir un contrat en prêt à Maxime Mejjati-Alami. Âgé de 19 ans, il n'a pas encore joué un seul match avec le SL16 FC.
Si ce nom n'est pas étranger aux fans de Fellaini c'est parce que l'attaquant français n'est autre que le fils de son agent, Karim Mejjati. Le prêt au Standard a donc été imaginé pour apaiser l'agent de Fellaini et son protégé.
Interrogé sur la possible conflit d'intérêt; le Standard n'a pas répondu à Josimar, qui avait déjà mis en avant les soucis auxquels sont confrontés les investisseurs de 777 Partners, notamment aux Etats-Unis.