Actuellement, deux compétitions internationales majeures ont lieu, la Coupe d'Asie et la Coupe d'Afrique des Nations.
Dans les deux compétitions, on en est arrivé au stade des demi-finales et à la CAN, la République Démocratique du Congo va tenter d'arracher sa qualification pour la finale. Pas facile face à la Côte d'Ivoire.
Un choix influencé par la CAN ?
Le pays organisateur réalise un très beau parcours et pourra évidemment compter sur le soutien de tout un peuple pour l'ecourager. Mais du côté des Léopards on veut y croire et faire aussi bien qu'en 1968 et 1974 avec les deux victoires finales (en 1974, le Congo était devenu Zaïre).
Pour paul-José Mpoku, on veut en tout cas y croire. Expatrié en Corée du Sud, l'attaquant de 31 ans suit de près les prestations du Congo. Lui qui vient de réussir ses examens d'entraineur UEFA B n'exclut pas un retout en équipe nationale.
Et depuis Changwon, où il prépare la nouvelle saison avec Incheon United, il évoque l'engouement que les prestations cont créer. Selon lui, il ne serait pas impossible de voir de nombreux joueurs faire le choix de la République Démocratique du Congo plutôt que de la Belgique après la CAN.
Né à Kinshasa, Mpoku avait représenté les couleurs de la Belgique dans toutes les équipes d'âge avant d'opter pour son pays natal en 2015. Il avait notamment participé à la CAN 2017, lors de laquelle il avait inscrit deux buts dont en pleine lucarne en quart de finale contre le Togo.