Si sa carrière en tant qu'entraineur en club n'est pas vraiment un grand succès, Thierry Henry réalise en revanche de belles choses en équipe nationale.
Après avoir été adjoint de Roberto Martinez à deux reprises, le Français a décidé d'accepter le poste de sélectionneur des Bleuets. Des espoirs qui voudront briller lors des prochains jeux olympiques de Paris.
"Henry est comme un oncle"
Et l'ancien international peut compter de l'aura dont il jouit encore pour diriger son groupe. Dans l'équipe première, il y en a un qui explique l'influence que Titi a pu avoir.
"C'est une référence pour, aussi bien dans sa façon de jouer que dans son comportement. Il est l'exemple de ce que Clairefontaine essayer de créer, pour moi il en est le parfait exemple. Je connais bien Henry depuis que je suis tout gamin. Comme mon père, il représente beaucoup pour moi. Je le considère comme mon oncle", expliue Marcus Thuram à Tuttomercatoweb.
Thuram qui avait comme grand objectif de devenir Bleu : "L'équipe nationale est devenue une obsession depuis que, chaque matin, sur le chemin pour aller à l'école, je croisais les joueurs de l'équipe première. Je venais d'une école américaine et j'étais habitué aux horaires différents. Je me souviens que la fois où j'ai visité le centre sportif j'ai noté une féroce élévation du niveau par rapport à celui auquel j'étais habitué. Ils étaient tous très forts, des monstres. Sur le terrain il y avait un garçon maghrébin, pas très grand, qui jouait seul et faisait des contrôles incroyables sans regarder le ballon : c'était Amine Harit."