Au Standard, Bruno Venanzi a été loin de faire l'unanimité. Et l'homme d'affaires a fini par décider de revendre le club.
Alors qu'il cherchait dans un premier temps des investisseurs prêts à l'aider pour faire progresser le club, il n'aura jamais trouvé personne pour le faire. En mars 2022, il décidait alors de mettre en vente le Standard et en avril c'est 777 Partners qui finissait par devenir l'actionnaire majoritaire.
Pas le premier choix de Venanzi
Les Américains n'étaient cependant pas les seuls en lice pour s'offrir le club liégeois et ils n'étaient même pas le premier choix de Bruno Venanzi. Ce dernier a décidé de sortir du silence dans lequel il est depuis dix-huit mois et il explique qu'il y avait un autre candidat sur lequel il avait jeté son dévolu.
Revenant sur son choix, qui n'était donc pas Josh Wander et ses associés, Venanzi déclare : "Il s'était porté sur un partenaire russe très ambitieux." S'il ne révèle pas le nom de ce partenaire, l'ancien propriétaire du Standard est donc clair sur le fait que les propriétaires actuels auraient pu ne jamais faire l'acquisition d'un nouveau club après Vasco de Gama, le Genoa, le Hertha Berlin et le Red Star.
777 Partners qui sohaite également s'offrir Everton, ce à quoi s'opposent les autres propriétaires de Premier League, voyant d'un mauvais oeil qu'un investisseur qui a des problèmes avec la justice puisse arriver en Premier League et ternir l'image du championnat.
À LIRE AUSSI
Venanzi attaque 777 : "Ce sont eux qui ont fait ça, pas moi"