Verbeke écoeuré : "Une limite a été franchie"

"J'essaie de ne pas mettre trop d'énergie là-dedans, parce que je pense que c'est de l'énergie négative et de l'énergie perdue. Mais je pense qu'une ligne a été franchie. Être comparé à un nazi... Ces gens sont responsables de la mort de six millions de personnes, dont beaucoup d'enfants."

"J'ai aussi dû expliquer cela à ma fille. Je pense qu'un ancien employé, qui annonce cela sous le couvert de l'anonymat à un journaliste, cela va trop loin."

Verbeke insiste cependant sur le fait qu'il n'a aucun problème avec la critique : "Crier, humilier, ce n'est pas mon style. J'ai un style direct, mais je ne suis pas comme ça. Je n'ai aucun problème s'il y a des critiques sur mon style ou sur les transferts que nous avons effectués."

Pour conclure, l'ancien directeur sportif de la Gantoise estime que de nombreuses contrevérités ont été écrites à son sujet : "Traiter quelqu'un de nazi, de psychopathe et écrire un article contenant beaucoup de mensonges et de contrevérités... Cela a été trop loin. À partir de maintenant, je devrais toujours justifier pourquoi quelqu'un m'a traité de nazi."