À Anderlecht, si le mot crise a dans un premier temps été évité, on n'hésite désormais plus à l'employer. La question que tout le monde se pose dès lors est de savoir comment on va en sortir.
Du côté du CEO Peter Verbeke, la façon dont il faut gérer les choses est assez claire, il faut prendre du recul et surtout ne pas laisser parler ses émotions au moment de prendre les décisions. "Le football est un métier où règnent les émotions. Mais vous ne prenez de bonnes décisions que lorsque vous vous éloignez de l'émotionnel", explique-t-il à Het Laatste Nieuws.
CONTROLE
"Je me concentre sur les choses que nous pouvons contrôler", ajoute l'homme fort du Sporting, qui préfère donc faire parler son point de vue rationnel et analytique. Un point de vue qui permet pour le moment à Felice Mazzù de rester en place, mais pour combien de temps encore?
"Je ne suis pas sûr que tout ira bien, mais il y a une évolution positive", affirme Verbeke. Une façon de voir les choses qui va devoir désormais devoir se concrétiser dans les chiffres, que ce soit sur la scène nationale ou européenne.