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La France a gagné, 2-1 contre la Belgique, jeudi soir au New York Stadium de Roterham, pour le compte de la deuxième journée du Groupe D de l'Euro 2022 féminin de football.
Elle est ainsi d'ores et déjà qualifiée pour les quarts de finale de l'épreuve, en attendant peut-être les Red Flames, lundi (un nul contre l'Italie pourrait même suffire, si l'Islande perd par au moins deux buts d'écart).
Mais outre la déception de ne pas avoir reproduit la démonstration, 5-1, de la première journée contre les Italiennes, les Françaises enragent de devoir poursuivre la compétition, et peut-être jusqu'au bout, sans Marie-Antoinette Katoto (Paris Saint-Germain), victime d'une entorse au genou droit, et contrainte de se retirer à la 17e minute.
Car si Katoto est réapparue en deuxième période, c’est en se soutenant sur des béquilles, et avec une grosse poche de glace autour du genou.
Le coup est très dur pour les Bleues. En témoigne d'ailleurs le "putain, fait chier", lâché par la sélectionneuse Corinne Diacre, et rapporté par L'Equipe (https://cutt.ly/aLUSqZM).
COURSE CONTRE LA MONTRE
Leur frustration est d'autant plus grande que sans pour autant démériter, sa remplaçante, Ouleymata Sarr (FC Paris), n'a exploité aucune occasion de marquer.
C'est donc désormais toute la compétition des Bleues qui va être suspendue au genou de Katoto.
Le degré de gravité de l’entorse sera déterminé ce vendredi, et il en découlera une durée d’absence.
Mais elle ne jouera évidemment pas lundi.
Le match suivant, un quart de finale, est fixé six jours plus tard, le 23 juillet, et la demi-finale éventuelle, le 27.
Une course contre la montre est lancée.
On ne se passe pas aussi facilement d’une joueuse qui a marqué 26 buts en 31 sélections
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Wullaert: "J'espère qu'ils ont vu le match" (https://www.footnews.be/news/328573/wullaert-jespere-quils-ont-vu-le-match)
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