Le Standard a donc appris ce mercredi qu'il avait bien droit à sa licence pour la D1A, évitant ainsi la deuxième session devant la Cour belge d’arbitrage pour le Sport (CBAS),
L’auditorat des licences avait rendu, le 17 mars dernier, dans son rapport transmis à la Commission des licences de la Fédération, un avis favorable concernant le dossier de la licence professionnelle du Standard.
Un avis favorable mais soumis à trois conditions à remplir pour obtenir le précieux sésame. Et à remplir pour le mardi 5 avril, date où le club liégeois était convoqué devant la Commission des licences.
Quelles conditions ?
Elles sont détaillées dans La Meuse (https://cutt.ly/cFYwkEL)
1. que le contrat de vente qui définit les termes du transfert de propriété des actions lors de la cession du club soit signé par toutes les parties et ne contienne aucune condition suspensive afin que le transfert des actions soit entièrement réalisé.
2. que les documents utiles concernant la transparence de la nouvelle structure soient fournis par le nouvel actionnaire.
3. que ce nouvel actionnaire principal mette à disposition à court terme les fonds nécessaires afin de garantir la continuité du club et plus précisément, qu’il procède à une augmentation de capital "d’au moins 15 millions d’euros", afin que la continuité du club soit assurée jusqu’au 30 juin 2023, et qu’il dépose sur la table, dans l’immédiat, au minimum 5 millions d’euros.
La balle était donc plus que jamais dans les pieds de 777 Partners", conclut l'article.
Bingo !