Le Standard est sur le point d'être racheté mais Charleroi ne ferme pas la porte à des investisseurs étrangers non plus.
"Mais notre club n'est pas à vendre", précise Mehdi Bayat dans Het Nieuwsblad. "Les supporters m'ont demandé pourquoi nous avions laissé partir Nicholson l'hiver dernier. Ils doivent savoir que 50 % de nos recettes proviennent des transferts."
"Si, comme à l'Antwerp, l'arrivée d'un investisseur permet une augmentation de capital, il est le bienvenu. Cela nous permettra de garder nos joueurs un peu plus longtemps. Mais cela ne veut pas dire que le club est à vendre, il y a une différence."