Star irlandaise de l'Ultimate Fighting Championship, et sportif le mieux payé du monde l'an dernier, Conor McGregor postule au rachat du club de Chelsea.
Mais selon The Sun (https://cutt.ly/aAvTqfF), l'offre de McGregor (1,8 milliard d'euros, alors que Roman Abramovitch a mis son joujou en vente pour 3 milliards) ne fait donc pas le poids, et le média anglais se demande surtout si la star de l'UFC a réellement les moyens de ses ambitions.
En s'attaquant à des milliardaires venus de toute la planète, l'Irlandais vise en effet probablement un peu trop haut, et pourrait subir une cuisante défaite.
Il a toutefois déjà réussi une chose, faire parler de lui. Et pour cela Conor McGregor est très fort !
Roman Abramovitch n’ayant pas eu réellement le choix, le milliardaire russe, menacé d’une saisie de ses avoirs en Angleterre en raison de sa proximité avec Vladimir Poutine, est contraint à vite mettre les Blues en vente.
Tandis que l’on évoque l’intérêt de différents milliardaires en Suisse, en Turquie et aux Etats-Unis, pour le club champion d'Europe où évolue le Diable Rouge Romelu Lukaku, Conor McGregor est en effet sorti du bois en annonçant à ses millions de supporters qu’il envisageait sérieusement de racheter le club londonien (https://cutt.ly/QAvWZaS).
Selon Sky Sports (https://cutt.ly/MAvRcvl), les dirigeants chargés de la vente de Chelsea ont déjà reçu trois offres à environ 3,6 milliards d’euros !
Il s'agirait notamment d'un consortium comprenant l'Américain Todd Boehly et le Suisse Hansjorg Wyss
Boehly, qui avait déjà tenté de racheter Chelsea en 2019, est propriétaire des LA Dodgers et des LA Lakers. Il est président et directeur général de la société d'investissement Eldridge Industries.
Wyss est lui le fondateur et l'ancien président du fabricant médical Synthes Holding AG.
Une offre présumée du milliardaire turc Muhsin Bayrak, président de la société de construction et d'investissement AB Group Holding, serait en revanche considérée avec un certain scepticisme à Londres.
Roman Abramovitch n'a pas eu réellement le choix.
La menace d’une saisie de ses avoirs en Angleterre en raison de sa proximité avec Vladimir Poutine l'oblige en effet à vite mettre les Blues en vente.