Au Standard, on ne parle qu d'une chose ce weekend, le but annulé de Moussa Sissako par le VAR lors de la rencontre contre le Cercle de Bruges.
Une décision contre laquelle le club liégeois a décidé de poser une réclamation. "Le referee department est clair, nous avons sept jours pour porter une réclamation, ce que nous allons faire. Nos conseils vont onc déposer une plainte et s'en suivra ce qui s'en suivra", a expliqué Alexandre Grosjean à la RTBF.
"On est à chaque fois entre le marteau et l'enclume en tant que club: soit on ne dit rien et nos supporters nous traitent de Bisounours, soit on réagit et la presse nous traite alors de Caliméro. Quelle attitude pouvons-nous prendre? On ne peut pas accepter qu'un résultat aussi important puisse être évalué sur de l'amateurisme", a-t-il ajouté.
UN ENFANT DE HUIT ANS
Très remonté, il a poursuivi sur une comparaison qui avait été faite auparavant avec le chronométrage au millième de seconde en athlétisme: "J'ose espérer que la personne qui chronomètre n'est pas un enfant de huit ans qui chronomètre avec une montre Flik Flak reçue à sa communion. Or, j'ai l'impression qu'ici c'est un enfant de huit ans qui a tiré le trait entre le milieu de la fesse du défenseur brugeois puis à la tête."
Et Grosjean de cocnlure: "Comble de tout, lors du match contre OHL Monsieur De Bleeckere avait expliqué les raison pour lesquelles on nous avait annulé le but. Ici on nous l'annule pour les raisons contraires."