Eric Ten Hag et Lucien Favre pas intéressés, Ronald Koeman pas convoité, la volonté absolue des nouveaux propriétaires saoudiens de Newcastle serait d'engager Unai Emery comme entraîneur, si l'on en croit les informations du média allemand Sport 1 (https://cutt.ly/hRN8tnN).
L'Espagnol de 49 ans passé par le Paris Saint-Germain et Arsenal serait le grandissime favori depuis la mise à l'écart de Steve Bruce.
Et le fait qu'Emery soit actuellement en poste à Villarreal, et sous contrat jusqu'en juin 2023, ne poserait aucun problème aux Saoudiens qui seraient prêts à verser une indemnité de taille pour convaincre le club espagnol de lâcher son coach. Les négociations entre les deux clubs seraient même déjà en cours.
Le technicien espagnol pourrait débarquer en Angleterre pendant la prochaine trêve internationale, avec pour mission d’assurer le maintien en Premier League - Newcastle est actuellement dernier - pour ensuite viser une place européenne la saison prochaine.
"La vérité est que je ne sais rien par rapport à Newcastle", avait toutefois déclaré Emery lundi en conférence de presse à la veille du match contre les Young Boys de Berne (2-0) en Ligue des champions.
Mais ce mardi après la rencontre, rapporte Fichajes (https://cutt.ly/DR0KhYP), Emery a confirmé que Newcastle l'a contacté, et qu'il ne fermait pas nécessairement la porte à son départ. "A étudier, en tout cas", aurait-il dit
En plus d'Emery, les bookmakers anglais voient également Roberto Martínez, la légende de Chelsea Frank Lampard et son ancien coéquipier John Terry comme de sérieux candidats.
Le président de Villareal Fernando Roig, assure lui qu'il n'a reçu aucune offre de Newcastle pour son entraîneur.
"Unai (Emery) est heureux ici à Villarreal et il est sous contrat. Il va l'honorer", a en effet assuré Roig à la télévision locale, rapporte L'Equipe (https://cutt.ly/CR0GyfQ). "Nous n'avons pas eu d'offre et nous n'avons pas de contacts avec d'autres clubs pour notre manager", a-t-il ajouté dans l'émission "A Punt"
Selon les médias espagnols, la clause libératoire d'Emery s'élèverait à six millions d'euros.