Le Standard est habitué du fait: ce n'est pas la première fois de la saison qu'il se fait rejoindre à la marque en fin de rencontre. Ce qui est arrivé à l'Union Saint-Gilloise est loin d'être un cas unique.
"Nous prenons pour la seconde fois d’affilée un but à la 94 e: on n’a pas grand-chose à rajouter à cela", a constaté Benito Raman dans
La Meuse. "Nous reculons trop alors que nous menions au score. Nous gagnons une seule fois en 15 matches".
"Il ne s’agit pas d’un problème spécifique aux play-offs 2. La peur de gagner? Oui, c’est en partie dans la tête. Quand tu ne mènes que 1-2, tu es toujours à la merci d’un ballon qui tombe bien pour l’adversaire".