"Je reproche au Standard d’avoir essayé de me forcer la main et de ne pas avoir fait preuve de transparence vis-à-vis de moi. En clair, de ne pas m’avoir respecté comme moi j’ai toujours respecté ce club", a avancé Balikwisha à La Meuse. "J'étais en équipe nationale quand j’ai reçu un coup de fil du responsable du recrutement de Bruges, qui avait obtenu la bénédiction d’Alexandre Grosjean pour entrer en contact avec moi et discuter d’un transfert."
"Moi je suis tombé des nues parce que personne ne m’avait jamais dit que les deux clubs avaient déjà trouvé un terrain d’entente. À partir de là, le Standard a persisté à vouloir m’imposer son choix, sans jamais se soucier de mes intérêts à moi. Désolé, mais je ne suis pas une machine qu’on achète et qu’on revend."