Formé à Santos, Robinho y est devenu professionnel en 2002. Depuis, il y est déjà retourné deux fois et la troisième aura rapidement tourné court.
Accusé par la justice italienne de viol en réunion lors d'une soirée dans une discothèque milanaise, le Brésilien a été rattrapé par la presse de son pays et surtout par les femmes journalistes, révoltées qu'un club défende les droits des femmes lors d'une campagne nationale et engage ensuite un agresseur sexuel quelque jours plus tard.
Une situation qui a poussé Orthopride a rompre son contrat de sponsoring et qui allait pousser d'autres à suivre le même exemple. Sous la pression, Santos a donc décidé de suspendre l'accord avec Robinho pour lui permettre de "se concentrer sur la défense de son cas".
Le vote: Robinho doit-il être condamné sportivement?