Anderlecht accueille le Cercle ce dimanche à l'occasion de la cinquième journée de championnat. Pour Thomas Didillon, c'est déjà l'heure du retour au Parc Astrid, où on l'a mis de côté.
"J’ai joué 45 matchs et j’en ai fait 43 bons", dit-il dans La Dernière Heure. "À chaque fois que j’ai joué, j’ai été performant. Ma mise de côté est un point d’interrogation complet. Aujourd’hui, je prends des faits : j’avais fait une bonne saison à Anderlecht et j’ai enchaîné avec de bons matchs à Genk."
Il affirme ne jamais avoir eu droit à une explication. "Le coach a fait ses choix. Il n’y a pas de problème. Point. Je n’ai pas à aimer ou ne pas aimer Vincent Kompany. Je respecte sa décision même si je ne l’accepte pas en tant que compétiteur. Mais je ne l’ai pas insulté ou je n’ai pas été méchant. Humainement, j’étais très apprécié au club. Kompany a certainement ses raisons. Et moi, j’avance, sans regarder derrière. Je suis resté dans mon coin et j’ai continué à travailler. Ce n’était pas facile."