Le Standard en D2 amateurs, c'est difficilement imaginable mais la direction rouche doit "récupérer" auprès de la CBAS la licence que la fédération lui a refusée. Entre-temps, le club liégeois a commencé à se défendre.
Le Standard a réagi à un article du Het Laatste Nieuws où un économiste expliquait pourquoi le club n'avait pas reçu sa licence. La direction rouche a commenté les manquements, qui lui ont été reprochés.
14 millions de dettes. "Près de la moitié de cette dette figure sur le bail de l'Académie, remboursable jusqu'en 2054 par tranches de 320.000 euros par an. Il ne s'agit pas de dettes à court terme. Sur l'autre moitié, il n'y a que 3 millions de dettes envers les banques. Le solde est dû à Bruno Venanzi (2 millions) ou à l'Immobilière du Standard de Liège (3 millions). Il n'y a pas un déficit de 14 millions d'euros à combler", a communiqué le Standard au Het Laatste Nieuws.
La continuité du club n'est pas assurée. "La vente du stade sert précisément à résoudre ce problème. Le club peut non seulement financer les travaux de rénovation et d'embellissement du stade. L'Immobilière du Standard de Liège est un moyen pour le club d'assurer ce financement. Le club a opté pour un bail à construction pour une durée limitée à 40 ans. D'ici quarante ans, le stade et tout ce qui l'entoure sera gratuit pour le club."
L'Immobilière du Standard de Liège. "L'argent vient des investisseurs et des prêteurs qui mettent leurs fonds dans la société immobilière, tandis que le club s'enrichit grâce à la vente. Il y a aussi une valeur ajoutée indirecte: la capacité du club à agrandir et à embellir son stade."
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