Anderlecht n'a pas été brillant sur le terrain et sur le plan financier, cela n'a pas été tout rose non plus. On a parlé d'un déficit canon de 94,9 millions.
"La dette s’élève actuellement à environ 50 millions.Ce chiffre comprend des dettes à long terme de dix millions et des montants de transferts qui vont bientôt être encaissés. La dette nette est en fait de quelque trente millions", a avancé Jo Van Biesbroeck, le CEO mauve à Sport/FootMagazine. "C’est beaucoup mais ce n’est pas dramatique, compte tenu du capital joueurs que possède le club."
"Cette dette est-elle gérable pour un club comme Anderlecht? Oui. Lors de son acquisition, la dette de reprise était de vingt millions. Tout le monde doit voir la réalité en face: Anderlecht est un club formateur et va devoir monnayer les jeunes talents. La priorité numéro un est de mettre de l’ordre dans le groupe pendant les campagnes de transfert en hiver et en été. Si nous y parvenons, nous en verrons les effets dans la prochaine année comptable. Mais il ne serait pas indiqué de vendre sous l’effet de la panique."
Le vote: Anderlecht va-t-il redresser la barre endéans les douze mois compte tenu de la mauvaise situation sportive?