Le FC Bruges va toucher 3,5 millions de la vente de Sofyan Amrabat à Hellas Vérone mais le club italien devrait rapidement le revendre pour une vingtaine de millions. Comment un joueur jugé trop juste pour le championnat de Belgique a-t-il pu s'imposer dans le calcio?
"Je suis un homme, pas un ordinateur", dit-il dans le journal hollandais AD. "Il ne suffit pas de me dire, joue à cette place et débrouille-toi. Dans l'entrejeu, ça va encore mais en défense, ça m'oblige à réfléchir. Et sur un terrain, il ne faut pas trop réfléchir. Maintenant, je dois aussi me remettre en question: je ne me suis pas rendu incontournable."
"En Italie, je joue à ma place favorite, ça me permet de progresser de match en match. Je ne suis pas un ailier qui fait la différence sur quelques dribbles en 20 minutes. J'ai besoin de temps, de régularité, de rythme. Les Italiens sont juste surpris que je me sois adapté aussi vite à la Serie A."