Le départ d'Emilio Ferrera du Standard n'était qu'une demi-surprise. En effet, le courant ne passait pas vraiment très bien entre le coach et les joueurs. Bien sûr, il n'était pas question d'en faire toute une histoire.
"Je n’ai pas envie de revenir là-dessus, il y a eu des choses qui se sont passées mais je ne garde aucune rancœur, que ce soit envers le club et encore moins envers Michel Preud'homme", a affirmé Ferrera à La Dernière Heure. "Nous sommes toujours liés, le Standard et moi, via notre projet commun d’Académie à Alost. J’ai toujours de bonnes relations au Standard et je suivrai la saison du club avec attention."
Par contre, le fait qu'il accepte le projet de Dudelange a été plus étonnant. "Je suis face à un nouveau défi qui touche un peu à tout ce que j’aime dans le football. Il y a tout d’abord le terrain avec ce poste de coach à Dudelange. Ensuite, il y a le côté organisationnel au niveau de plusieurs clubs avec Virton et plus tard Kaiserslautern. Enfin, j’ai mon projet d’Académie à Alost qui touche à la formation autre partie du métier que j’affectionne tout particulièrement."
Le vote: Ferrera misait-il sur un jeu trop défensif?