Les play-offs débutent vendredi par le choc entre le Standard et Charleroi. Si c'est généralement tendu entre les supporters, c'est moins le cas entre les dirigeants. Du moins dans le chef des présidents.
"C’est important de gagner le premier match mais le Standard a encore les dents longues. Il faudra faire attention à cette formation qui fait bien partie des six meilleures de Belgique. Et j’en suis d’ailleurs très content, au vu du peu de clubs francophones au sein de l’élite", a assuré le président carolo Fabien Debecq à La Nouvelle Gazette.
"Je respecte beaucoup Bruno Venanzi, avec qui je m’entends bien. Mais je ne veux pas me mêler de sa façon de travailler. On gère chacun notre club comme de vrais chefs d’entreprise. Je pense d’ailleurs qu’il faut laisser un peu de crédit à Bruno. Il a été fortement critiqué depuis son arrivée. Et puis, où serait le Standard sans lui? Personnellement, je le félicite pour ce qu’il a réalisé cette année, d’autant plus qu’il n’a pas dû dormir correctement durant de nombreuses nuits."